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Confidences intimes d'une femme mariée
1 décembre 2014

J'ai accepté de poser pour Guislain

Nous étions au mois de février, Guislain venait d’avoir 19 ans, nous avions fêté cela en famille avec son père et mes beaux-parents lors d’un dimanche très agréable. Nous lui avions offert ce qu’il souhaitait un appareil photo numérique de belle qualité. C’est vrai qu’il s’intéressait depuis son adolescence à la photo, il avait alors un petit appareil photo argentique que lui avait cédé son grand père.

Le samedi suivant, mon mari était parti reconduire ses parents chez eux, qui vivent à deux heures de chez nous, et ce faisant, il resta chez eux pour faire quelques travaux de peinture dans leur maison.

Je n’étais donc pas mécontente de me retrouver enfin un peu tranquille devant ma télévision, ou à poursuivre la lecture de mon livre tranquillement. En effet, je n’avais pas de nouvelle de Guislain, mais le samedi soir en général il est avec ses copains chez l’un, chez l’autre ou en sortie.

Ce samedi soir, alors que je m’apprêtais à dîner, Guislain est rentré à la maison. Il me dit qu’il préférait ne pas sortir ce soir, sachant que son père était absent. Surprise et non moins touchée par son attention à mon égard, je lui demandais ce qu’il aimerait diner. Je n’eu pas de réponse, comme à son habitude. Ce n’est qu’après un moment qu’il vint me rejoindre dans la cuisine, et qu'enfin me répondit : « écoute, puisque l’on est tous les deux, que dirais tu de boire un verre d’une bonne bouteille…? »

Un peu surprise, mais assez séduite par la proposition, je lui dit : « oui, c’est une bonne idée, je te laisse aller à la cave choisir la bouteille ». Un moment après, il revint avec celle de son choix, un bordeaux et commençait à la déboucher alors que je préparais de mon coté quelques toasts en guise d’apéritif.

Puis il me dit : « maman, ne le prends pas mal, mais je trouve que ton jogging et tes chaussons, c’est pas ce qui te va le mieux….Pourquoi ne mettrais tu pas autre chose, ce serait plus sympa ». C’est vrai que je réalisais que j’étais confortablement habillée, mais pas très jolie. Certes je n’avais pas prévu quoi que ce soit d’autre que mon plateau télé.

-       « Bon, mais  que veux tu que je mette ? »

-         il me répondit : « tu verras je t’ai tout mis sur ton lit dans ta chambre »

-       un peu surprise : « Ah bon, mais quand à tu préparé cela ? »

-       « tout à l’heure, en rentrant… euh… surtout, tu ne gardes rien de ce que tu as là sur toi, j’ai tout prévu, donc tu changes tout et tu mets exactement ce que j’ai préparé sur ton lit »…

C’était autant mystérieux, qu’inattendu et surtout inhabituel. Mais Guislain est un garçon assez artiste, très créatif ; en moi-même, j’étais curieuse de savoir ce qu’il avait préparé.

- « Bon, pourquoi pas, si tu veux… » je pensais à mon pauvre jogging et peut être aspirait-il à voir sa mère autrement. Cela peut se comprendre, après tout.

Je suis montée à l’étage pour rejoindre ma chambre ; en effet, je vis sur le lit une de mes jupes noire, un chemisier en satin violet et même une paire de chaussures, qu’il avait sortie du placard.

J’ai donc fais au plus simple, écoutant la consigne, disciplinée je suis entrée dans la salle de bain, j’ai retiré tous ce que j’avais sur le dos.  Comme j’avais passé la journée dans les courses et le ménage, j’ai pris une douche rapide pour être plus à l’aise dans ma jupe et mon chemisier qui eux étaient encore sous les housses du pressing. 

J’arrive donc dans la chambre pour m’habiller, je fais assez vite, car il fait un peu frais. J’enfile la culotte que je vois sortie, jolie, noire en dentelle fine avec les fesses dégagées ; je l’aime beaucoup, et je ne sais pas comment Guislain l’a su, on n’a jamais parlé de cela, il ne connaît pas ma lingerie, et je ne parle pas de cela avec lui. Je suis plutôt de tempérament pudique, et lui aussi d’ailleurs.

Et puis soulevant la jupe je vois sur le lit, un porte-jarretelle noir et une paire de bas neufs dans leur sachet.

Comment a t-il trouvé tout cela dans mon dressing, je ne sais pas, mais il a très bien choisi, le porte-jarretelles et la culotte font partie d’un ensemble.  Bon, après tout pourquoi pas, c'est joli, j’aime cet ensemble cela me convient très bien. J’enfile les bas, tout est parfait, je passe la jupe dont je constate qu’elle me va encore. C’est une jupe noire que j’ai depuis quelques années, elle est très chic, juste en dessous du genou, boutonnée devant avec de très beaux boutons dorés. Elle a une large ceinture vernie montant assez haut. C’est vrai que c’est élégant.

Je pose mon peignoir, pour mettre le chemisier, et je cherche, mais je vois qu'il n’y a pas de soutien gorge ; Guislain ne l’a peut être pas trouvé ! J’ouvre alors le tiroir, je cherche et ne trouve pas celui qui est assorti à la culotte et au porte-jarretelles. J’en trouve d’autres, mais qui ne conviennent pas. Après tout ce n’est pas bien grave, je n’ai pas à aller loin, je ne me rends pas à un rendez-vous ! je vais dans ma cuisine ; j’enfile donc mon chemisier de satin sans soutien gorge.

Je suis étonnée par les escarpins dont Guislain a su trouvé la boite, pourtant en haut au fond du dressing. Car ceux-ci je ne les ai quasiment jamais mis sauf deux fois pour sortir avec Jacques, mon mari. Ces chaussures sont très belles, mais très hautes, avec des talons très fins droits, vernies noir garnies de strass sur l’arrière. Je les enfile. Etonnamment, je me sens bien. En repassant dans la salle de bain, je réalise que je ne suis pas maquillée, ce qui dénote un peu ainsi habillée. J’applique donc un peu d’eye-liner sur mes yeux, un contour des lèvres et mon rouge pour rehausser le chemisier et la jupe. Je me surprends à me mettre en beauté alors qu’il n’y a pas d’occasion ; Mais c’est assez agréable au fond, je me dis que Guislain a eu une bonne idée, certes imprévue,  au début un rien saugrenue, mais finalement une bonne initiative. Je passe un coup de brosse dans mes cheveux blonds, et je redescends au devant de Guislain qui m’attend avec l’apéritif.

Il est dans le salon, il a disposé nos deux verres de vin et les toasts qu’il a fini de préparer. Il est en train de mettre un peu de musique jazz, il se retourne et j’ai droit à un « waouh ! tu es superbe maman » me dit-il. J’avoue que je me sentais aussi assez en beauté.

- « merci mon chéri, j’ai donc mis ce que tu m’as bien soigneusement préparé ! »

- « Cette jupe te va super bien, tu ne la mets jamais… »

- « non, plus trop, je pensais qu’elle ne m’allait plus » tout en me regardant dans le reflet de la fenêtre.

- « Et puis, le chemisier aussi est très beau, il te va à ravir ! »

- « oui j’aime beaucoup aussi, tu l’as bien choisi ». Il est assez doux et chaud, c’est très agréable à porter.

- « oui, surtout que je ne t’avais pas sorti de soutien gorge… »

- « En effet, je ne l’ai pas trouvé, il faudra que je le cherche… ».

Je n’ai pas poussé plus loin le sujet du soutien gorge, je n’avais pas envie de parler de cela avec Guislain…

Il me tendit un verre, nous avons commencé à déguster notre apéritif agréablement.

Après un moment, nous parlions de choses et d’autres, il m’a dit qu’il était très heureux de son cadeau d’anniversaire. Il m’expliqua que la photo en numérique c’était très différent, il pouvait enfin prendre davantage de photos et sélectionner les meilleures. Il m’expliqua qu’il avait déjà fait pas mal de photos dans le jardin de la végétation, etc.

Soudain, il me dit : « attends, je vais te montrer ».

Il partit dans sa chambre et revint avec son ordinateur, et me montra les photos qu’il avait faites. En effet, je l’ai complimenté, tant j’ai vu de très belles photos de la nature diverse à cette saison.

Puis il partit à nouveau dans sa chambre et cette fois-ci réapparu avec son fameux appareil photo. Il m’en expliqua les qualités sans que je comprenne bien tous ses arguments.

Puis, il fit des photos d’un vase, de la cheminée, d’un de nos verres de vin…me montrant à chaque fois les résultats, sur le petit écran de contrôle.

Puis soudain, le téléphone sonna, c’était Jacques, mon mari. Il m’expliqua les travaux qu’il avait avancés chez ses parents. De mon coté, je lui dis que Guislain était à la maison ce soir, et que l’on allait même diner ensemble ; ce qu’il apprécia de la part de son fils, voyant là une marque d’attention. 

Alors que je me tenais assise dans le canapé, avec mon verre, parlant au téléphone, soudain je vis du coin de l’œil Guislain orientant doucement son objectif vers moi, sans dire mot. Je fis celle qui n’avait pas vu, ou qui n’y portait pas attention.

J’entendais le bruit répété du déclencheur, me disant « mais combien en prend-il… »

En même temps, je trouvais cela amusant.

Je raccrochai le téléphone, mais il ne cessa pas pour autant de prendre des photos. Il se levait, s’asseyait, se déplaçait, s’agenouillait... ; le bruit du déclencheur était comme cadencé. Je ne disais mot, parce que je ne trouvais pas quoi dire d’intelligent, je me trouvais ainsi la cible de cet objectif, et je dois reconnaître que je n’étais pas vraiment mal à l’aise. Certainement parce que je me sentais bien habillée, jolie. J’en oubliai que le photographe était Guislain.

« Regardes, je te montre… »

Il se mit à mes cotés, et tendant vers moi l’écran de contrôle de son appareil photo, il fit défiler les photos qu’il venait de faire. Sur beaucoup, je ne voyais que mes défauts, mes mimiques, puis sur certaines je me trouvais franchement superbe. C’est Guislain, qui sur les mêmes commenta : « ah tu es superbe sur celle-ci, ….et celle-ci aussi… ».

Puis, au fur et à mesure, que les photos défilaient, il m’a dit : «je sais ce qu’il manque…ton maquillage est un peu léger, cela ne ressort pas assez ».

- « Ah, peut être, mais que manque t-il selon toi… »

Il se leva et alla chercher deux magazines de modes, les feuilletant rapidement et me dit : « regardes, tu vois ses yeux…et bien ils sont plus noirs, plus charbonneux, ses lèvres, elles sont plus rouges… »

-« bon, et alors… »

-« et alors, si tu essayais d’en rajouter un peu, de renforcer les yeux , et tes lèvres…ce serait certainement beaucoup mieux... »

J’avais soudainement l’impression de jouer la mannequin ; c’était amusant, et stimulant, je pouvais voir le résultat, de jolies photos de moi, comme je n’avais jamais eu.  Jacques n’a jamais fait de photos de moi, sauf aux anniversaires ou en vacances devant des monuments. Mais des photos comme cela, de moi, non jamais.

Prise dans le mouvement, je me suis levée, et suis remontée dans la salle de bain. J’ai donc cherché et trouvé une palette de couleur que je n’utilisais jamais, il y avait là des fards très foncés, notamment un noir.

Fermant doucement les yeux l’un après l’autre, je déposa ce fard délicatement sur mes paupières, et me fit les yeux plus lourds et charbonneux un peu comme le mannequin de la photo.

J’accentuai le rouge de mes lèvres, renforçant le trait foncé du contour. Je mis un peu de blush sur mes joues…

Je me trouvais encore plus belle. J’ai ajouté une paire de grande boucle d’oreilles scintillantes dorées, deux colliers que j’ai toujours trouvé superbes mais que je mettais rarement.

Et je redescendis vers le salon.

Alors que je faisais extrêmement attention, franchissant les marches une par une, juchée sur mes superbes talons si hauts, je vis Guislain au pied de l’escalier,  braquant son objectif sur moi.

C’est alors que je me sentis regardée, en détail, observée des pieds à la tête…me faisant prendre davantage conscience de mon corps. Nerveuse, j’ai ressenti le balancement de ma poitrine libre, et lourde car non tenue dans ce chemisier de satin si parfait.

Arrivée au pied de l’escalier, je ne dis rien de cette sensation étrange, et dans le même mouvement retourna sur le canapé, comme si je n’avais pas vu Guislain me photographier.

Alors que je reprenais mon verre, Guislain s’approcha et me resservi.

Esquissant un merci il en fit autant et recommença ses prises de vues. 

Il ne parlait pas. Puis après un moment que je trouvais fort long mais qui ne me troublait pas, alors que je me sentais comme portée par une légèreté, il me dit : « ta jupe est très belle, peux tu te mettre debout, je vais arranger quelques chose… » 

Faisant suite à ses conseils sur le maquillage, je lui fis confiance et me levais.

Me tenant debout avec mon verre, il avait posé son appareil photo, tourna autour de moi, me détaillant des pieds à la tête. Je ne dis rien.

Puis il se mit à genou devant moi, et me dit : « je peux … ? »

J’esquissais : « si tu veux … »

Il commença à relâcher le premier bouton de ma jupe au niveau du genou, puis un deuxième au dessus, puis un troisième, il se recula, avisa, et revint pour défaire un quatrième bouton à mi-cuisse.

Je dis : « bon, c’est mieux tu crois… ? »

-       « oui, c’est beaucoup mieux… »

Il se leva, regarda mon chemisier, et défit aussi le premier bouton du décolleté. « Je peux..? » fit il.

- « Oui, si c’est mieux… »

Puis, un deuxième, et un troisième bouton.

En moi-même, je savais que je n’avais pas de soutien gorge, donc on ne risquait pas de voir ma lingerie, ce que je trouve parfois laid, d’autant que sans soutien gorge, ma poitrine, est plus basse. Elle s’est en effet alourdie avec les années. De mon 90B à l‘âge de 20 ans, le dernier soutien gorge que j’ai acheté était en 95 bonnet F. 

Je vis dans le reflet de la fenêtre, une grande femme, très élégante, très sexy, et c’était moi.

Guislain avait repris sa séance photo.

Il me demanda de me déplacer,  d’aller vers le fond de la pièce et de revenir…

Il photographiait mes jambes qui apparaissaient subrepticement à chaque pas qui ouvraient un peu la jupe devant. Je faisais celle qui ne voyait pas ce qu’il visait.

Après un moment. Allant me resservir un nouveau verre, je lui proposai d’inverser les rôles.

Il me paru surpris. Je lui dis : «Oui c’est très simple, tu fais les réglages et moi je fais des photos…d’accord ? ».

Dans l’élan que je marquais soudainement, il hésita et accepta, comme pour prouver l’honnêteté de ses actes…ce dont je ne doutais pas. 

Il fit les réglages et me demanda où il devait se mettre.

-« essayons d’abord sur le canapé… » lui ai-je indiqué.

Je fis quelques clichés et très vite me rendis compte que cela n’allait pas. Oui, ses vêtements n’étaient pas très photogéniques. Je lui en fis part.

Il me dit : « mais que veux tu que je me mette de mieux ? »

Je réfléchissais, puis soudain, je réalisais que le plus simple était encore qu’il soit en maillot de bain. Oui, Guislain est un nageur, sportif, plutôt musclé et assez bien fait, après tout c’est même son atout.

« Et bien, le mieux est de te mettre en slip de bain,…en plus tu en as un blanc et un noir très beaux, neufs de l’été dernier… ce sera très bien…et regardes aussi, je crois que tu as un slip boxer blanc, cela sera pas mal aussi je suis sure… ».

…Après un moment, Guislain reparu, avec son peignoir ceinturé.

Il se mit sur le canapé, pris son verre de vin.

Je commençais à appuyer sur le déclencheur.

A chaque son, il changeait de pose.

Après une vingtaine de clichés qui se ressemblaient un peu, je lui dis, sans réfléchir davantage : « Guislain, retires donc ce peignoir qui n’est pas formidable… »

Il défit la ceinture, puis dégagea son peignoir.

Il était là, à demi allongé, très beau, un corps parfait sur ce canapé en cuir beige.

Je déclenchais l’appareil, me surprenant à me décaler pour saisir le meilleur de ce que je voyais, « je lui dis, très bien Guislain, c’est très bien,… c’est …. très beau… »

Il se sentait au fur et à mesure de mes commentaires et des minutes plus à l’aise. Il semblait prendre plaisir à poser. Et moi j’avoue que j’en prenais aussi à regarder tout en oubliant totalement qui nous étions.

Guislain arborait un boxer blanc dans un matière délicate, très belle, qui lui moulait joliment les fesses qu’il a bien rebondies.

Puis, il se posa de plus en plus face à l’objectif, sur le dos, appuyé sur les coudes, les jambes progressivement un peu plus ouvertes, face à moi…

Les minutes passaient, et j’ai vu cette jolie lingerie au bas de son ventre se tendre un peu plus, je comprenais que son émotion grandissait, gonflant son sexe doucement.

Je trouvais cela joli, absolument pas inconvenant. Il était beau ainsi offert à l’objectif ; moi regardant discrètement sans mot dire, depuis l’arrière de l’appareil.

Puis vint le moment où il ne pouvait plus y avoir de doute. Devant, son slip était totalement déformé, dessinant une longue et large forme qui tendait le lycra blanc. Cela lui barrait complètement le bas ventre de biais, et il le sentait, je le voyais, il avait vu, je ne disais rien, lui non plus.

 Je fis des clichés et encore des clichés, il était totalement offert, les jambes enfin très écartée devant mes yeux et l’objectif.

Et puis, je lui dis : « tu veux l’enlever… ? »

- il hésita un moment et me répondit « oui… »

Et alors qu’il glissa ses doigts à l’intérieur du tissu, il descendit doucement son boxer, jusqu’à mi-cuisses, découvrant un magnifique sexe masculin, long et fort, totalement raide, splendidement érrigé.

lui semblait bien, très apaisé, je l’étais aussi, totalement présente, prenant un immense plaisir à le regarder ainsi.

Je m’aperçus qu’il était parfaitement rasé. C’était très beau, cela dégageait toute la beauté de cette verge formidablement tendue.

Après un long moment ainsi, et différentes poses, sa main frôla son sexe, un fois, puis une deuxième fois…puis, il s’en saisit.

Je ne disais rien. Puis je vis sa main, doucement bouger, se mettant à caresser son gland…

Il s’arrêta.

Je lui dis « pourquoi t’arrêtes tu … ?»

-« Je ne peux pas…je n’y arrive pas… »

- « qu’est ce qui ne va pas… »

- « Assieds toi dans le fauteuil en face de moi… »

M’exécutant, j’ai posé l’appareil, et me suis assise dans le fauteuil bridge faisant parfaitement face au canapé où il était allongé

Il me dit « déboutonnes ta jupe devant, et ouvre totalement ton chemisier… ».

 

Après un moment d’hésitation, je comprenais que mon image féminine lui était nécessaire, je ne me sentais plus sa mère, mais une femme belle et désirable. Je ressentais sa demande comme un compliment de ma féminité.

Je me déboutonnais donc ; d’abord la jupe, dont je défis un à un les boutons de devant jusqu’à la large ceinture vernie. Puis le chemisier, je descendais la boutonnière, ouvrant totalement le satin…pour découvrir ma lourde poitrine que je lui exhibais alors.

Je remarquais les extrémités durcies qui pointaient et dessinaient une ombre sur mon ventre.

Ma jupe ainsi dégagée, découvrait mes jambes fines, gainées de ces bas, et ce porte-jarretelles qu’il avait lui-même choisi. Ainsi chaussées de ses talons si beaux… je me  sentais belle ultra féminine, puissante, comme jamais je ne l’avais ressenti.

Il avait repris le massage de son sexe encore plus tendu.

Je voyais ses yeux braqués sur mes seins, Je ne savais comment me mettre.

Il me dit : « décroises les jambes et ouvres les…devant moi »

Je le fis.

J’entendis un râle, et je vis de ce sexe s’expulser plusieurs jets blancs qui retombèrent sur son ventre et qui lui recouvraient bientôt toute la main…

Je ne savais alors s’il avait joui en regardant sa mère ou cette femme ainsi offerte.

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Commentaires
S
Merci pour votre réponse, chère Léa, et j’avoue que ce récit trouve un écho dans ma mémoire et j’aurais pu vivre un tel moment précieux et intimiste mais pas avec une femme aussi belle que généreusement dotée par la nature dans ses formes exquises !<br /> <br /> Secrètement pour vous.<br /> <br /> Lionel
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S
Chère Léa,<br /> <br /> Comme il est délicieux de lire vos mots et c’est avec un souffle de sensualité que je découvre votre blog! Je me délecte de lire et relire, toujours avec les mêmes émois et frissons chaque texte! Merci de nous toucher aussi intensément que vous le faites ! <br /> <br /> Bien à vous <br /> <br /> Lionel
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B
Très agréable récit. Fantasme? Vécu? De toute manière l'écriture est souple et bien scandée... Il est rare de parcourir un texte d'une telle qualité. Je m'en vais donc apprécier la suite
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C
Je me suis également permis de contempler votre corp dans une jolie robe noire et je peux vous assurer que votre fils a une de la chance ma chère Léa.<br /> <br /> Vous nous parlez souvent de vos bas et porte jartelle pouvons nous avoir l'honneur de les voir ?
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C
Je pense que son amour envers sa mère a pu être prouvé il fantasmait sur toi et tu lui as offert ce que tu avais de plus cher ton corp tu l'as laisse contempler ta beauté et en jouir peut être devrais tu le laisser te caresser pour qu'il te montre combien il t'aime et combien il te désire.<br /> <br /> Si tu es dans l'incapacité de le satisfaire visuellement tu n'as qu'à t'occuper de lui la prochaine fois.<br /> <br /> Prenez du plaisir.
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