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Confidences intimes d'une femme mariée
14 janvier 2015

Forcée de montrer ma lingerie sur une route de campagne

J’avais profité d’un après-midi disponible pour aller faire les magasins. J’avais envie de me trouver une paire de chaussures et un cadeau d’anniversaire pour une amie chez qui nous étions invités le weekend end suivant. Ni Gérard, ni Guislain n’étaient à la maison, j’étais donc parfaitement tranquille pour partir faire mes petites emplettes. Le grand centre commercial à coté de chez moi est toujours un plaisir pour moi, j’aime arpenter et faire les vitrines, d’autant qu’il y fait assez bon à l’abri de tous les caprices du temps.

Les magasins sont assez agréables, j’aime la mode qui y est présentée. Je trouve l’endroit assez chic, c’est pourquoi j’aime m’habiller joliment lorsque je décide de m’y promener.

Je me suis garée comme d’habitude sur le grand parking devant une des grandes entrées. Même si je n’apprécie pas beaucoup les parkings, en pleine journée beaucoup de monde circule. Je n’ai pas de crainte et je n’y pense pas. J’allais sortir de ma voiture, quand un piéton passa près de ma porte, entre ma voiture et celle d’à coté. J’ai été étonné parce j’ai eu l’impression que la personne à ma hauteur, alors que j’étais toujours enfermée dans ma voiture. Je ressenti un des yeux braqués sur moi, même insistants alors que je ne pouvais le voir moi-même.

Je me dit alors, mais qu’y a t-il ? Et cherchant du regard ce qu’avait pu voir ce piéton, un homme d’ailleurs, j’ai compris. Il s’agissait de ma robe, de mes genoux, et peut-être bien de mes cuisses. Je restais interdite quelques instants, ne sachant plus trop quoi faire. Puis je ramassai mon sac à main. Réalisant que l’homme ne s’était pas beaucoup éloigné, il semblait chercher quelque chose, peut être sa voiture. C’était un homme plutôt jeune grand, mais je ne le regardais surtout pas, mais le savais présent, sans percevoir quelconque hostilité, mais plutôt … un certain voyeurisme.

En une seconde, je me sentis regardée, et curieusement, passé l’instant un peu anxieuse, j’en tirai une sorte de sentiment plaisant.

Alors, toujours assise dans ma voiture, prête à sortir enfin, je me suis surprise à défaire un bouton de ma robe au dessus des genoux, … pour plus d’aisance. Verrait-on davantage mes jambes, peut-être… oui, certainement.

Je pris soin de vérifier que l’on ne puisse voir le bord sombre de mes bas. Je trouve cela déplaisant et inconvenant. Alors qu’une jambe joliment gainée qui apparaît dans l’ouverture d’une robe est un effet qui me plait.

Quand je sortis de la voiture, l’homme n’était plus là. Verrouillant ma porte, je m’aperçu qu’il était en fait plus en arrière. De sa place, je compris alors qu’il m’avait aisément observée ouvrir ma porte, et certainement regardée mes jambes se découvrant de ma robe à présent plus hautement déboutonnée.

Je n’en fis rien, mis mon sac à main à l’épaule et parti d’un bon pas vers l’entrée du magasin.

Je fis mes courses, et ne pensais plus à cet individu. Je rencontrai même une voisine avec qui j’ai bavardé un moment. En fin d’après-midi un peu épuisée je songeai à rentrer, il était peut être 16h30. Je regagnai ma voiture, avec mes paquets que j’engouffrai délicatement dans le coffre. Je repensais à mes achats, j’étais satisfaite.

Puis, fermant le coffre, j’entendis une voix qui me semblait s’adresser à moi, « Bonsoir Madame ». Je vis alors l’homme celui qui m’avait tant observée, là près de ma voiture avec un sourire, pas désagréable et même avenant.

-       « oui ? Monsieur ?... qu’y a t-il ? »

-       « je vous trouve sublime, et, je n’ai pas résisté à vous le dire de vive voix… »

-       « euh…merci, je vous remercie ».

-       « seriez-vous libre pour partager un verre … »

-       « non merci monsieur, c’est gentil à vous, je suis pressée… »

-       « vous êtes sublime … »

 

Comme je suis rentrée dans ma voiture rapidement, et verrouillée mes portes. Je me sentais tranquille. J’allais démarrer, quand on frappa à mon carreau doucement. Je tournai la tête et vis l’homme me faisant signe de vouloir me parler. Etant méfiante, j’entre ouvris à peine ma fenêtre. Il me dit

-       « ouvrez votre manteau, montrez moi votre robe… »

-       « Mais monsieur, cela ne va pas, je ne vous connais pas, et je ne vous montrerai pas ma robe, allez vous en »

je démarrai et commençai à manœuvrer pour sortir du parking.

J’étais perturbée, par cet homme, ses mots, sa détermination. J’avais eu peur.

Je circulais doucement, quand arrêtée au feu, je reconnu l’homme dans la voiture juste derrière. J’étais pétrifiée. Le feu passant au vert, je pris le parti d’accélérer, autant que je puisse dans cette circulation, il ne me lâchait pas.

Que faire ?, il ne paraissait pas méchant, mais très déterminé. Il me trouvait sublime, …était-ce une raison.

Soudain, je réalisais qu’il n’y avait personne à la maison, que je devais tout faire pour qu’il ne sache pas où j’habitais. Je pensais aller à la Police, mais où ? et probablement me prendrait-ils pour une folle prétentieuse.

Je pris alors des détours et des détours, faisant des kilomètres en nombre comme pour diluer ma crainte. J’avais peur oui.

Il était toujours là derrière moi parfois à distance, mais toujours là, et je ne savais pas pourquoi, que voulait-il , qui était-il.

Le long de la route soudain je vis une aire de repos juste au bord de la route. Comme pour rompre le rythme, je décidais de m’arrêter. Comme je ne vis pas la voiture de l’homme me doubler, alors je regardai dans le rétroviseur. Il était toujours là. Il ne bougeait pas, là à quelques mètres derrière moi.

Après quelques minutes, je sursautai, il était à nouveau là à ma fenêtre avec son sourire pas méchant, mais comme déterminé.

Il était là et ne bougeait pas. Il me regardait. J’entrouvris ma fenêtre et lui dis : « mais enfin, que voulez-vous, laissez moi tranquille »

-       « je vous promets de vous laisser tranquille, à une condition… »

-       «laquelle ? »

-       « ouvrez, votre manteau, et faites ce que je vous dis »

-       « après vous me laisserez ? »

-       « oui, je vous le promets »

Je défis la ceinture de mon manteau et l’ouvrai complètement.

-« bien, c’est très beau, votre robe est très sexy et vous être très belle » 

- « ouvrez votre robe totalement »

J’étais pétrifiée. Mais je m’exécutai. Je défis un à un les boutons de ma robe.

-« ouvrez là bien complètement »

Je ne dis rien, mais fis ce qu’il me dit. J’étais sous les yeux de cet homme, cet inconnu, enfermée dans ma voiture, la robe totalement ouverte, en soutien gorge, porte-jarretelle, bas et culotte.

-« cette couleur de lingerie champagne vous va à ravir et avec vos bas noirs c’est merveilleux. Merci beaucoup. Vous êtes sublime »

Puis il reparti. Totalement déconfite, je redémarrai et roulais un long moment. Ne le voyant plus et vérifiant constamment, je me dirigeais enfin vers chez moi. Arrivée à ma porte de garage, je me rhabillais correctement pour sortir de ma voiture. Je ne vis plus jamais cet homme.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Commentaires
S
Merci Léa de partager ces moments exquis et follement excitants , j’aimerais que vos textes soient encore plus longs et aussi détaillés, je m’en régale…
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S
Récit palpitant comme la tension sous-jacente ressentie jusqu’au bout de cette histoire ! J’adore cet effet ! Merci Léa
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G
Dommage qu' il ne vous donne pas envie d'ouvrir votre porte, pour Û il vous caresse le corps voire vous faire l'amour et jouir sous les coups d'un très grand sexe de gros diamètre, un Black par hasard
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B
Partagée entre l'angoisse et le trouble de ce regard inconnu scrutant ses dessous. Dommage de s'être arrêté en si bon chemin. Quelle aurait été la suite fantasmée?
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F
superbe mais la femme a eu du courage car il y avait un grand danger mais sa a fait une belle histoire qui se termine bien
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