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Confidences intimes d'une femme mariée
1 janvier 2018

Offerte, le corps écarté, à la vue de femmes et d'hommes plus jeunes que moi

Les jours passent mais me laissent intactes les sensations ressenties…

 J’avais commis cette faute de mal répondre à un jeune homme qui correspondait avec moi par courriel. Mon mari connaissait échanges épistolaires. Cet homme blessé par mon attitude s’en était plaint à mon mari qui lui proposa de m’infliger une sanction dans le cadre de l’éducation que j’avais subi et de mon statut particulier de femme éduquée.

C’était un soir d’hiver, mon mari reçut une lettre du plaignant dont mon mari a accepté de révéler le contenu.

 

Léa devra être parfaitement, coiffée, maquillée, les yeux charbonneux, mais non parfumée.

Elle portera une jupe crayon ou droite et étroite la plus ajustée possible.

Un chemisier cintré blanc légèrement transparent.

Un soutien-gorge des plus emboitant, une culotte gaine et un serre taille ou porte-jarretelles le tout de couleur noire.

La culotte sous le porte-jarretelles, ce qui l'obligera à le remettre lorsqu'elle retirera sa culotte. Des bas voile très fins 10 deniers couleur chair. Au préalable, elle aura mis du rouge à lèvres sur ses tétons pour montrer la provenance de sa faute.

Vous lui ferez boire du thé ou du café quelques temps avant sa présentation. Vous redonnerez une tasse juste avant sa présentation.

Vous la présenterez yeux non bandés. Elle se dévêtira, dans l'ordre suivant, chemisier, jupe, porte-jarretelles, soutien-gorge, culotte, puis elle remet son porte-jarretelle et ajuste ses bas, les femmes lui prendront ses vêtements au fur et à mesure. Elle devra les donner parfaitement pliés. Les femmes inspecteront sa culotte et commenteront. Elles lui déploieront ses seins lorsqu'elle retirera son soutien-gorge.

Elle restera en bas, talons hauts, et porte-jarretelles.

Ses yeux seront bandés. Un bâillon au niveau de la bouche.

Des hommes viendront l'attacher, les bras en l'air, les jambes écartées et maintenues écartées. Léa aura le corps bandé, en équilibre sur ses talons. Il est important que Léa soit tendu et qu'elle soit en équilibre instable.

Des femmes viendront lui enduire ses parties intimes et fines d'une pommade chauffante, ou autre. Son corps sera régulièrement enduit aisselle, intérieur des cuisses aisselles, vulve, anus, fesses, tétons, creux des seins. Ses tétons seront attachés et remonteront ses seins par l'intermédiaire d'une ficelle qui lui passe derrière le cou, afin que son poitrail soit soulevé. De la pommade sera mise sous ses seins.

Lorsque son corps commencera à réagir et qu'une envie de miction apparaitra, des pinces seront fixées à ses tétons, et des femmes regarderont l'état d'humidité de sa vulve et la commenteront. Elles lui demanderont régulièrement si elle a soif, lui retireront les pinces, attendront le retour du sang dans ses bouts, lui passeront alors des glaçons sur ses tétons, ces derniers rétractés, comme Léa le désire (elle trouve ses pointes trop longue) elles lui remettront les pinces.

Elles s'attacheront à ce que sa vulve, son clitoris et ses pointes soient toujours sous l'effet de la pommade.

Il faut que Léa gémisse, bave et que l'envie de miction apparaisse et soit perturbante, elle doit se manifester.

La position de Léa sera rectifiée à petits coups de cravache, son corps doit être perturbé, mais il lui doit être imposé de ne pas trop bouger.

Lorsque vous la trouverez fatiguée, vous lui retirez le bâillon, afin qu'elle se repentisse, et reconnaisse ses fautes et trouve que ses pointes ne sont pas assez longues.

Vous lui débanderez les yeux et elle devra répéter ses fautes, les reconnaitre et demander que le travail des ses pointes continue.

 

Elle sera détachée, puis prise par quatre ou cinq hommes. A chaque fois ses tétons seront pincés, et dés qu'elle jouit, les pinces retirés.

Premier temps sodomisée, par deux fois, les femmes la prépareront, lui écarteront les fesses, les jambes, Léa debout et le buste allongé sur le haut d'un fauteuil ou d'une table.

Puis prise par devant, Léa allongée, les femmes lui ramèneront ses pieds au niveau des épaules, lui écarteront les bras et la maintiendront, et accentueront sa prise de plaisir, et ainsi offerte prise par deux fois.

Elle effectuera ensuite des fellations.

 

Ce qu’il s’est passé ensuite.

J'ai été brusquement notifiée par mon mari de la punition et du motif de celle ci que je devais subir. Dans le cadre de l’éducation que j’ai suivie, je ne suis pas autorisée à demander quelconque explication, encore moins à protester. Le rituel m'était fixé à samedi 21h30. J'avoue avoir été perturbée, un peu angoissée, comme je le suis toujours pour toutes les épreuves que je subis.

Puis il me remit l'enveloppe contenant toutes les consignes vestimentaires et préparatoires.

Je découvris qu'il m'était imposée le port d’un corset de couleur sombre des bas couture 10 deniers de couleur sombre, des escarpins à talon très hauts noirs.

Je devais porter une culotte noire sous mon corset.

Un maquillage très appuyé, paupières lourdement fardées noir, faux cils mi- longs, eye liner très lourd.

Mes lèvres devaient être d'un rouge soutenu, souligné d'un crayon ton sur ton et d'un gloss brillant laqué.

Je devais prévoir également un petit vêtement noir pour couvrir mes épaules, genre boléro. Je pouvais porter une robe à condition que celle ci soir noir et facile à défaire.

Les bijoux étaient laissés à ma discrétion. Je devais être coiffée parfaitement. J'avais pris rendez-vous l'après midi chez mon coiffeur. Il accepta de me prendre en urgence ; fort heureusement pour moi.

Enfin je devais sortir couverte de l'imperméable coutumier pour ces circonstances : un trench-coat ciré noir.

Je devais être prête pour 18h, afin d'être emmenée par un agent de cérémonie.

Je m'étais apprêtée, habillée d'une robe facile à défaire : robe portefeuille fermée par une ceinture nouée sur le côté. J'étais parfaitement coiffée, fardée, habillée, et non parfumée comme exigé. En plus de mon sac à main, j’avais un sac pour tous mes produits de maquillage, mes bijoux, mon petit boléro.

Je marchais doucement faisant de petits pas chaussée de mes escarpins trop hauts, certes très beaux, sur le trottoir pour atteindre la voiture qui m'attendait. Je dû m’asseoir à l’arrière. L’agent ne me parla pas.

 

Nous roulâmes 2 heures il me semble. Puis nous sommes arrivés. Je reconnu les lieux. L'agent me fit descendre et m'amena dans un vestibule. Là deux femmes virent à ma rencontre prirent mes affaires et m'emmenèrent par le couloir. Nous avons marché quelques minutes empruntant différentes allées. Elles me firent descendre des marches et me firent entrer dans une petite pièce, il y avait un lavabo, avec un grand miroir.

Je suis entrée en éducation depuis de longues années et je me souviens de chaque étape, qu’elles aient été menées par mon époux en dehors du collège, ou dans son enceinte. Je connais ces lieux, mais je ne puis que me les remémorer avec une réinterprétation toujours plus dramatique lorsque le sens de la vision m’est retiré.

Ce qui fut le cas.

Lorsque je pénétrai dans cette pièce, les deux femmes me firent poser mes affaires sur une table, elles en sortirent le contenu, dont mon nécessaire à maquillage, mes brosses à cheveux, mon boléro. Elles me firent défaire mon imperméable noué et boutonné, pour le pendre à un cintre suspendu à une barre vide. Il y a avait un autre cintre. L’une me demanda de défaire le nœud de ma robe. Elles étaient en face de moi. Je m’exécutai. En tirant sur un lien, celui-ci glissa, et ma robe s’ouvrit les deux pans s’écartant de part et d’autre le long de mon corps ; j’avais le sentiment de me tenir droite, prête à subir ce que je ne savais pas encore. Mais j’étais prête.

 

Je devais en assumer les conséquences, que je n’évaluais pas, étrangement je me sentais extrêmement femme, cela me rendais plus forte, mais inconsciente, car j’étais celle qui allait subir un châtiment, dont on ne distingue pas la dimension, j’allais droit vers une souffrance, je le savais, mais j’étais résignée.


Elles m’ont regardée des pieds à la tête. Mes seins étaient nus, je sentais la pression du corset sous ma poitrine, je craignais leur regard de femmes plus jeunes sur mes seins qui me complexent parfois parce qu’ils sont trop gros et qui, passée la cinquantaine, tendent à reposer désormais trop bas à mon gout. Elles m’ont retiré ma robe et l’on pendue sur l’autre cintre. Une valisette était disposée sur la table.
Elles me demandèrent de renforcer le fard à paupière et le rouge. Mais avant, l’une ouvrit une thermos et versa dans le gobelet du thé.
Je du boire le liquide que je reconnu être un thé vert, de qualité moyenne.
Puis elles me firent asseoir devant le miroir pour me remaquiller comme demandé. Je renforçai le fard à paupière noir (Dior), et le rouge (Guerlain) Pendant ce temps, elles me posèrent mon boléro sur les épaules, l’attachant à mon cou.
Je vérifiai l’ensemble non sans satisfaction. Ce que j’allais subir, je le subirai belle. L’une me fit mettre debout, ouvrit la valisette, en sorti un fard dont je ne reconnu pas la marque; L’autre s’approcha, et me pinça chaque téton entre ses doigts et tira légèrement mais fermement, à plusieurs reprise. Cela ne me fit pas véritablement mal, mais elle voulu les allonger. L’autre alors appliqua le fard ocre avec un pinceau très agréable car très souple. Le fard était assorti d’un très léger parfum. Ce qui me comblais car j’eu interdiction de me parfumer. Ce qui fut particulièrement difficile à vivre pour moi qui porte Shalimar depuis que je suis rentrée en éducation.


De la valisette elle sortit un bandeau noir qu’elle me noua sur les yeux. L’obscurité se fit soudainement, mes repères se perdirent aussitôt ; alors que je n’avais rien ressenti jusqu’à présent, je me sentais plus vulnérable et attendais de l’aide de ces deux femmes dont je ne percevais plus l’âge, ni le physique...

Les deux femmes qui s'occupèrent de moi ont disparu de mon champ de vision dès que j'eu les yeux bandés. Néanmoins, j'appréciais leur présence à mon arrivée, je surpris certes dans leur regard une légère angoisse qu’elles ressentaient certainement, car elles se doutaient de ce que j'allais devoir subir et endurer. Je ne les perçues pas du tout comme des assistantes de bourreaux. 

L'une doit avoir à peu près 30 ans, l'autre environ 45. 

Elles étaient en tenue réglementaire étaient, jupe crayon laquée noire très moulante sous le genou, chemisier satin rouge à jabots, mules vernies.

La préparation de mes seins s'est faite quand j'eu les yeux bandés. 

J'ai ressenti la pose d'un corps gras au bout de mes tétons et sur mes aréoles aussi.  Je crois que c'était du rouge à lèvre, mais je n'en suis pas sûre.

Le surplus de rouge à été estompé. 

J'ai aussi ressenti sensiblement une pommade très froide, qui me brûlait aussi le bout des seins que j'ai ressentis comme à vif.

Le plus difficile fut de supporter les pincements extrêmement douloureux infligés à mes tétons, c'était très fort et en même temps cela tirait. Je sentais une chaîne tendue tirant sur mes bouts effroyablement pincés.

À cela est venu s'ajouter ce que je n'avais jamais subi : on m'a fait boire une tisane agréable à bonne température. Mais j'ai beaucoup souffert du poids de ce liquide en ma vessie que je sais très petite. J'en ai vraiment souffert, notamment dans les positions dans lesquelles j'ai été disposée, attachée et entravée. 

J'ai été surprise de comprendre que ce que j'ai subi a été ourdi par les soins d’un homme qui s’est senti blessé.

Cette épreuve me fut si éprouvante. Ce n'est pas tant l'humiliation d'être attachée, à mon âge, totalement offerte, le corps écarté, à la vue de femmes et d'hommes plus jeunes, que cette envie irrésistible de me soulager, et ce baume qui m'a très fortement sensibilisé notamment le bout de mes seins. J’ai été assaillie de toute part, mes orifices profondément investis par des hommes  avec une immense ardeur, au point de ne plus sentir mon corps et ses zones si délicates et fragiles, mais des coups et secousses très fortes me coupant souffle et respiration. J'ai compris que l’homme avait exigé que je sois sodomisée par plusieurs hommes. Je le fus donc. J'ai pu entendre leurs propos, se relayant, décrivant mon anus très largement ouvert, un large vide, après les assauts de l'un d'eux que j'ai senti très largement membré, et qui n'hésita pas à me pilonner très brutalement. J'ai failli en vomir, tant j'avais l'impression que son membre dévastait mes entrailles.

Ils se sont vidés dans ma bouche et sur mon visage. Et paradoxalement, ce moment fut apaisant pour moi car il était signe de la fin de mes souffrances.

 

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Commentaires
J
Je suis une femme mariée et grâce à cette histoire mon mari Patrick et moi avons tenté de vous immiter. Je suis gêné par le fait que JE SUIS SURPRISE DE MÈTRE LAISSER ALLER À MON 1ER (gang bang devant mon mari Patrick avec un trio de garçon âgés de la même âge que mes élèves
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J
Texte intense et excitant. J'ai visualisé toute la scène, notamment cet instant où la soumise se mue en Divine enculée, absolument magnifique. Je me suis joint à l'offrande des autres hommes en me branlant sur votre visage jusqu'à la jouissance extrême.
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