Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Confidences intimes d'une femme mariée
14 octobre 2015

Attachée et offerte dans un bois, par amour

Est-ce joli mois de septembre qui a donné de nouvelles ardeurs à mon tendre époux, qui m’a proposé une escapade en forêt, dans une nature riche de ces couleurs de fin d’été ?

Toujours très fascinée par la douceur et la volupté des décors aussi naturels, j’ai trouvé son idée fort séduisante. Me faisant partager son projet plus précisément, il me fit part de son envie de faire des photos de moi, dans des lieux immaculés, comme pour faire rejaillir un contraste saisissant entre l’expression d’un féminité, qu’il aime fatale, et le coté brut, presque primaire, et naturel du décors. Il me demanda donc de prévoir des tenues répondant à ses aspirations.

 

Le matin de notre départ pour cette jolie balade, alors que je vis Gérard avec quelques carte routières dépliées devant lui, un air songeur, j’ouvris ma penderie et me décidai pour une robe de soie rouge, assez moulante au niveau du buste jusqu’à la taille, enserrée par une large ceinture du même ton, avec un retombé plissé très ample et très évasé à partir de la taille, jusqu’au genou. Connaissant maintenant bien ses goûts, je préparais également un ensemble soutien gorge sein nu de dentelle noire avec un porte- jarretelle assorti, et, une paire de bas noirs très fins soulignés d’une couture. Le tout étalé sur le lit me paraissait très bien, et me réjouissait à l’idée de le porter.

Je fis le tour de quelques boites de chaussures, pour retrouver une paire de bottines que je sais du même rouge que la robe, avec un talon haut, laqué noir qui me semblait en parfait accord avec la robe…

 

Me doutant que je pourrai me changer en route, je pris le parti de m’habiller ainsi pour partir. Si tôt fait, je passais dans la salle de bain pour me maquiller, farder mes paupières, souligner mes pommettes, et mes lèvres, d’un crayon et d’un rouge franc.

Je pris dans mon beauty case les maquillages nécessaires, poudre, fard, rouges, puis, brosses, peignes, etc.

Je me senti belle, j’enfilai juste une petite veste de tailleur noire courte en laine très jolie pour me couvrir les bras contre le courant d’air forestier.

Nous prîmes la route en fin de mâtiné, avons roulé un bon moment, les paysages devenant de plus en plus jolis, de plus en plus vallonnées, les collines se donnaient au soleil présent mais non écrasant, une impression de sérénité s’en dégageait, nous arrivions ailleurs, non sans un petit émerveillement.

Ayant quitté l’autoroute assez loin, alors que nous roulions plus tranquillement, une douce petite faim semblait se faire sentir. Gérard stoppa la voiture dans un village, dont le cœur baigné d’ombre et de lumière nous offrait un restaurant, d’apparence simple, mais propre et surtout bienvenu.

Quand nous sommes entrés, nous avons été salués, et il est vrai que je faisais un peu décalée avec ma robe rouge et mes talons hauts. Quelques couples étaient là attablés, des hommes au bar et au fond de la salle parlaient assez fort.

Gérard réglant notre note, demanda à l’homme derrière le bar ou se trouvait « le bois des Serres ». Nous en avons conclu que nous n’étions plus très loin.

Reprenant la voiture, nous nous sommes dirigés selon les indications du restaurateur. Nous quittâmes la route, pour suivre un chemin long mais merveilleux, nous nous enfoncions dans cette forêt qui était si clair et si accueillante. Nulle âme qui vive, juste des bois, des clairières, une végétation si belle.

Gérard enfin stoppa la voiture, dans une trouée accessible depuis le chemin jusqu’à la lisière d’un ruisseau. C’était très beau.

Il descendit, me disant, « on y va , ici c’est parfait ».

Je réalisais qu’avec mes bottines je n’irai pas loin, j’enfilai alors une paire de chaussures de jogging qui restent toujours ans la voiture, et je mis mes bottines dans un sac, pris mon beauty case.

Gérard lui, s’occupa de son matériel photo et d’un sac de matériel.

Après quelques pas, nous n’apercevions presque plus la voiture, il nous semblait que nous étions au cœur de la nature intacte.

Enfilant mes fameuses bottines, réajustant ma robe, mon maquillage, ma coiffure, Gérard me demanda de prendre la pose près d’un groupe d’arbres coupés.

 

Il commença à faire des photos, puis progressivement, il me fit prendre quelques poses plus sexy, jupe levée sur les jambes, plus ouvertes, ou penchée, de dos…

Puis il me demanda de déboutonner entièrement ma robe, et de la laisser ouverte…

 

M’exécutant, je sentais l’air venir caresser ma peau.

Il sembla surpris de découvrir que je portais un soutien gorge sein nu, les lanières et rubans du soutien gorge encadrant parfaitement mes seins totalement libres dont les tétons, je le senti, se durcirent en pointant fortement.

Il me fit retirer ma culote, j’était alors offerte à son objectif, les cuisses écartées, la bouche entre-ouverte, comme il me le commanda ;

 

Puis, il fit une pause, fit quelques pas et me demande de venir le rejoindre.

Il avait trouvé deux arbres très beaux, très majestueux, espacés de deux mètres environ, ils formaient comme une large porte.

 

Allant chercher ses affaires et les miennes, il revint, ouvrit son sac, en sortit plusieurs cordes. Bien qu’interloquée, surprise, je lui fait toute confiance.

 

Il me demanda de retirer totalement ma robe.

Je pris soin de la repliée délicatement et la posa sur deux branches allongées à coté.

 

Il vint ensuite à moi avec une corde, saisit mon poigné qu’il attacha méticuleusement à cette corde qu’il lança ensuite autour d’une branche plus haute. Il tira sur le bout qui était retombé, je senti mon bras se lever en l’air et se tendre.

Alors que j’évitais l’écorce de l’arbre pour ne pas me griffer, il fit la même opération avec l’autre poigné, me retrouvant ainsi attachée presque suspendue par mes deux bras.

 

C’est alors qu’il pris l’un de mes pieds qu’il immobilisa à la partie basse de l’arbre et en fit de même pour l’autre. Là, j’étais en croix, presque écartelée, mes seins qui me paraissaient alors encore plus lourds totalement exposés, les tétons durcis me semblait pointer droite devant, les lèvres de mon sexe lui aussi largement exposé, me semblaient s’ouvrir doucement, tant mes jambes étaient ouvertes.

 

C’est alors que Gérard, me fit connaître ce dont nous avions parlé, mais jamais encore exploré, celui de la soumission et de ces voyages intimes.

Il sorti de son sac une sorte de martinet avec un manche en cuir et de longues lanières. Il me caressa le corps passant les lanières sur le moindre centimètre carré de ma peau ; Cela me faisait frissonner…

Puis il commença à fouetter mes fesses, mes cuisses, mon ventre, le bruit était cinglant, j’étais partagée entre petite brulure, plaisir…je ne savais plus. Cela me caressait, et me saisissait en même temps.

Je découvris un certain plaisir nouveau, celui des coups de ce fouet portés sur mon fessier. Je sentais chacune de mes fesses bouger et réagir à chaque coup s’abattant.

 

Cette séance de fouet dura, il me sembla, de longues minutes. Gérard s’arrêta, me caressa à nouveau avec les lanières, partout, cela m’apaisa.

Puis il reprit de nouveau, pendant plusieurs minutes, je fatiguai, mais j’étais bien, à sa merci, offerte, totalement vulnérable, c’était un plaisir nouveau inouï, presque honteux pour moi.

 

Après plusieurs poses, et reprises, j’étais les yeux fermés, la têtes inclinée, ne tenant que sur la pointe de mes talons hauts, tirant un peu sur mes poignés…les cordes étaient tendues. Me penchant la tête en arrière, je voyais les deux cordes de chaque coté au bout de mes poignés tendues jusqu’au nœud autour de ces arbres magnifiques…

 

Soudain redressant  la tête, je vis quelqu’un près de Gérard, un peu en arrière. Gérard l’avait certainement vu déjà depuis quelques temps. J’étais effrayée, stupéfaite. Regardant mieux, je vis un autre homme non loin, puis un autre…il y avait dans cette petite clairière, 5 ou 6 hommes, là, qui nous observaient et qui me regardaient. Je leur offrais un spectacle de choix.

Je dis, « Gérard ! », il me dit « chut, tais toi ! »

 

Puis, un homme s’approcha, dit à Gérard, « je peux ? ».

Décontenancée, je vis Gérard lui tendre son martinet.

 

L’homme se tenait devant moi, un petit sourire en coin, j’étais totalement humiliée devant lui, totalement vulnérable, à sa merci. Il se plaça derrière moi. Je ne l’entendais plus, je regardais Gérard, comme pour chercher de l’aide.

 

Puis, soudain, je senti une vive douleur au niveau de mes fesses, l’homme avait commencé à me fouetter, si fort que mes genoux cédèrent dans un cri que je ne pu retenir.

Pour ne pas avoir mal à mes poignés retenus par la corde, je me redressai et il m’infligea soudain une série de coups forts, dont chacun me paraissait moins douloureux au fur et à mesure.

Je vis les hommes approcher et se placer à coté de Gérard qui fit un pas de coté.

 

L’un défit son pantalon et m’exhiba son sexe tendu, en forte érection. Il se masturba alors que je recevais ces coups de fouets qui pleuvaient sur chacune de mes fesses alternativement.

Les autres hommes firent de même, ils semblaient se masturber d’autant plus fortement me voyant tressaillir et faiblir à chaque coup s’abattant.

Ils ont joui l’un après l’autre dans un râlement sourd. Puis ils partirent vite. Les coups cessèrent. Je respirait rapidement, très éprouvée.

 

Ne resta que celui qui m’a fouetté, je ne le voyais plus, ne l’entendais plus. Et soudain je sentis deux mains me prendre la taille , puis un doigt, se glisser entre mes deux fesses, descendre le long jusqu’à l’orifice de mon anus, puis se frayant un chemin s’y enfonça. Je n’avais pas mal, j’étais saisie, impuissante, alors qu’il me fouillait largement.

Puis, je sentis deux mains posées m’écartant les fesses. L’homme me sodomisa.

Je n’avais pas mal, je ressentis la chaleur de son sexe tendu jusqu’au fond de mes entrailles.

Il fit quelques vas et viens et se finit en hurlant, je ne sentis pas son jus, j’en déduis qu’il avait un préservatif. Quoi qu’il en soit Gérard n’aurait pas laissé faire sans.

L’homme disparu sans que je ne le revu.

 

Gérard me détacha. Mes bras tombèrent me semblant peser une tonne, il me soutenait.

Nous ne parlions pas. Je remis ma robe posée là sur une branche couchée.

J’ouvris mon beauty case, et me recoiffai devant le miroir du couvercle, me repoudrai et remis mon rouge à lèvre, alors que Gérard rassemblait et rangeait son matériel.

 

Le soleil n’était plus là. Nous regagnâmes la voiture, sans un mot.

Gérard démarra et nous commençâmes à rouler, nous en retournant sur ce chemin forestier.

Après un moment, alors que nous roulions déjà sur l’autoroute, étrangement, j’engageai la conversation. « Alors, tu as aimé ? ». Gérard me répondit sur un ton grave assez inhabituel « Oui, beaucoup…énormément. »

 

La nuit tombait, il s’engagea sur une aire de repos, gara la voiture sur une place un peu à l’écart. Il sorti, fit le tour et m’invita à sortir de la voiture.

Suivant sa main tendue, il me plaça devant, les mains posée sur l’aile droite, me fit écarter les pieds, retroussa ma robe jusqu’à la taille, puis je sentis son sexe chercher, lui aussi, mon anus.

Il s’y enfonça doucement, avec précaution. Je compris qu’il avait besoin de me posséder après cet homme, comme repassant sur ses traces pour les effacer. Il fit à peine deux allers et retours, et me dit d’une voix cassée « je t’aime ». Il se vida au fond moi, je ressentai toute sa chaleur.

C’était le début d’une nouvelle page de notre histoire d’amour.

Publicité
Publicité
Commentaires
A
* m a fait bander les tetons. j ai 24 ans et je vis a lucon Vendde(85) pour une baise. Ligotee j i facilement des orgasmes
Répondre
A
M a fais banD jusqu au bout d ailleurs quelqu un voufrais me faire ca je syis une salope
Répondre
F
vous m'avez trop excite si coquine Léa pleine d'érotisme !<br /> <br /> <br /> <br /> J'aimerais échanger avec vous coquinement et érotiquement<br /> <br /> <br /> <br /> mon courriel si vous le voulez<br /> <br /> <br /> <br /> monfredp001@mailo.com<br /> <br /> <br /> <br /> au plaisir de se faire plaisir ma si sexe...citante coquine<br /> <br /> <br /> <br /> Fredo pour votre plaisir et vous pour le mien
Répondre
A
Je suis très attirée par ce principe de faire l'amour, après des coups de ceinturon sur les fesses, il m'a demandé de se venger sur lui et je lui ai pénétré un tige de 8 de diamètre et 16 cm de longueur dans sons pénis, c'était impressionnant mais apparemment pas douloureux pour lui, je l'ai branle doucement, et je lui ai enfilé un anneau de force sur son gland <br /> <br /> C'était très douloureux sans lubrifiant et c'est entré quand même, son gland à grossi beaucoup, je lui ai enlevé la tige, je lui ai mis une capote et là il m'a defonce à grands coups de butoir, je ressentais l'anneau qu'il avait au pénis qui labourait l'intérieur du vagin, que du bonheur malgré la douleur j'ai vraiment gicle tout ce que j'avais <br /> <br /> Avis aux amateurs <br /> <br /> Ameline
Répondre
L
avec de nombreux vas et vient je l'ai faite jouir après je l'ai prise par derrière doucement au début puis de bons coups de reins qui l'ont faite jouir et elle m'a demandé de l'a reprendre par sa chatte se dont j'ai fait et après de bons coups de butoir bien profond, je me suis vidé en elle, elle a poussé un cri en sentant les giclées de mon sperme qui remplissait sa chatte,je continuais mes vas et vient toujours en crachant puis quand j'eus finis, je me suis retiré,essuyé sur ses fesses et suis parti, un autre avait prit ma place, son mari prenait des photos, j'ai passé un très bon après midi ! Au plaisir de vous lire encore et encore chère Léa !
Répondre
Confidences intimes d'une femme mariée
Publicité
Archives
Confidences intimes d'une femme mariée
Derniers commentaires
Publicité